Le Mali est un pays malade de nos jours. Malade pour des raisons de luttes fratricides d'une part et de l'autre de la désunion de ses enfants. A ceci s'ajoute un islamisme du vingt et unième siècle caractérisé par des intérêts liés aux richesses d'une zone qu'on veut spolier. Alors, pour trouver un moyen, les ennemis de Dieu se disant les fous de l'islam se cachent derrière la religion musulmane.
Ils crient de partout, appellent à la haine religieuse, raciale. Les sept touristes français enlevés dans ces derniers jours suscitent beaucoup de réflexion. Toutes les communautés doivent se pencher sur la résolution définitive de ce problème, qui a tendance toujours à s'intensifier. L'appel apparent que font les hommes "islamistes" ne doit pas être entendu par les communautés musulmanes. Au contrario, elles doivent se lever pour dénoncer, d'où qu'elles se trouvent par le monde, les attitudes animistes qu'ils commettent.
Au nord, la tension est chaude. Au sud, il y a beaucoup de problèmes internes liés à autre chose que l'intérêt de la nation. Frères du Mali, de l'Afrique tout entière, n'est-il pas temps de primer les intérêts de la patrie qui nous a vus naître, grandir et qui nous verra mourir. Mourir car elle a mis son sang dans nos veines.
J'ai peur que ce conflit ne provoque une autre guerre internationale.
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